Il n'y a pas de jardin idyllique,
Il n'y a que des jardins fantastiques... On y fait même des rêves mystiques.
Il y a tant de belles histoires, de contes et dans un contexte historique,
Il y a des statues exposées dans des lieux enchantés presque oubliés,
Il y a du sable et de la végétation, des herbes et des arbres à profusion,
Il y a de l'amour sur les bancs et des bisous dans les coins ombragés,
Il y a de l'eau qui coule le long des rochers,
Il y a des colverts qui oublient de s'envoler,
Il y a la vie et des canetons aux ailes pas encore rognées,
Il y a des mamans-canes qui veillent sur leur portée,
Il y a des parents, et maintenant beaucoup de papas
Qui se penchent sur leur premier-né.
Il y a des rencontres, des débats et des épilogues,
Il y a de la tendresse, de l'attention et du dialogue,
ll y a de l'humour, de l'échange et de la présence,
Il y a de la joie, de la bonne humeur et de la patience.
Il y a tant de chants qui enchantent mes oreilles,
Il y a tant de musiques qui m'émerveillent,
Il y a tant de lumière, une symphonie de couleur,
Il y a tant de senteurs et d'odeurs,
Il y a tant de coins et de recoins de fraicheur,
Il y a tant de bruissements, de mouvements,
Il y a tant de rupture de rythmes différents...
Qu'une vie ne suffirait pas pour en dénombrer l’éloquence,
Qu'une vie à compter, chaque jour nous prouve son importance.
Il n'y a que des jardins fantastiques... On y fait même des rêves mystiques.
Il y a tant de belles histoires, de contes et dans un contexte historique,
Il y a des statues exposées dans des lieux enchantés presque oubliés,
Il y a du sable et de la végétation, des herbes et des arbres à profusion,
Il y a de l'amour sur les bancs et des bisous dans les coins ombragés,
Il y a de l'eau qui coule le long des rochers,
Il y a des colverts qui oublient de s'envoler,
Il y a la vie et des canetons aux ailes pas encore rognées,
Il y a des mamans-canes qui veillent sur leur portée,
Il y a des parents, et maintenant beaucoup de papas
Qui se penchent sur leur premier-né.
Il y a des rencontres, des débats et des épilogues,
Il y a de la tendresse, de l'attention et du dialogue,
ll y a de l'humour, de l'échange et de la présence,
Il y a de la joie, de la bonne humeur et de la patience.
Il y a tant de chants qui enchantent mes oreilles,
Il y a tant de musiques qui m'émerveillent,
Il y a tant de lumière, une symphonie de couleur,
Il y a tant de senteurs et d'odeurs,
Il y a tant de coins et de recoins de fraicheur,
Il y a tant de bruissements, de mouvements,
Il y a tant de rupture de rythmes différents...
Qu'une vie ne suffirait pas pour en dénombrer l’éloquence,
Qu'une vie à compter, chaque jour nous prouve son importance.
Claudine
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Si l’on a
pu attribuer au lion la dignité de roi des animaux, nul doute que le gigantesque sequoia
mériterait celle de roi des végétaux voire – pourquoi pas ? – d’empereur
des êtres vivants.
Au cours
d’une excursion aux parcs nationaux de Californie, j’ai pu admirer un vénérable
sequoia baptisé du nom de General Grant, présentant cette particularité, pour
le moins insolite, d’avoir son tronc percé, au ras du sol, d’un tunnel dans le
quel stationne une voiture.
Du
séquoia, je conserve un souvenir plus proche géographiquement puisqu’il se
situe – ou plutôt se situait – au Jardin des Plantes de paris. Il s’agit d’un
cadeau offert, agrès la première guerre mondiale, par la légion américaine à
ses camarades de combat (les Poilus français) : une troncature de séquoia
exposant une multiplicité d’étiquettes épinglées, s’échelonnant entre, d’une
part une étiquette centrale qui affiche l’an 1 de notre ère et, d’autre part,
une étiquette périphérique qui est datée de nos jours.