(Présent sujet avec rattrapage du
précédent sur La Permission)
Joyeux
comme un permissionnaire encaserné dans sa ville natale à proximité de sa
famille et de ses fréquentations.
Joyeux
comme un permissionnaire s’ébattant sur les plages méditerranéennes qui
parsèment la route côtière empruntée par l’armée.
Joyeux
comme un permissionnaire revenant indemne d’une offensive dans le désert sous
couverture aérienne et maritime, les alliés possédant la maîtrise des airs et
des mers.
Joyeux
comme un permissionnaire, après avoir enduré l’enfer d’une conduite en camion
roulant en convoi dans le désert, à faible allure constante, sous un soleil de
plomb, pendant des heures et des heures, avec pour seul panorama, à travers un
nuage de sable, l’arrière du camion de devant.
Joyeux
comme un permissionnaire débarquant, à sa libération récente, dans une ville de
Provence et bénéficiant allégrement d’une aventure galante que devaient
favoriser l’euphorie du moment et le prestige du l’uniforme.
Emmanuel
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·
Joyeux
comme les écoliers, le jour des grandes vacances car ils vont se livrer à leurs
jeux favoris sans limite de temps.
·
Joyeux
comme les lycéens ou les étudiants apprenant
leur succès à leurs examens.
·
Joyeux
comme celui qui, après beaucoup d’efforts, réussit un travail ou qui après
avoir longuement cherché, trouve une solution à ses problèmes
·
Joyeux
comme celui qui se délasse avec la lecture d’un bon roman, écoute une musique
qui lui plait ou dansent de plaisir
·
Joyeux
comme la chanson de Nana Mouskouri : « quand tu chantes, quand tu
chantes » qui donne du cœur à l’ouvrage et met de bonne humeur pour toute
la journée
·
Joyeux comme la sonnerie
des « trompettes d’Aida », ma sœur écoute à la radio, les ténors
Pavarotti ou Alagna chanter, les airs
d’opéras.
·
Joyeux
comme les cloches qui carillonnent à tout va annonçant le mariage d’un nouveau
couple.
·
Joyeux
enfin comme tous les bonheurs que nous glanons au tout long de la vie.
Marie Thérèse
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Joyeux
comme lorsqu’au petit matin un rai de lumière dorée inonde ma chambre.
Joyeux
comme après Mozart.
Joyeux
comme en sortant d’une belle exposition de peinture.
Joyeux
comme après une randonnée en montagne particulièrement réussie.
Joyeux
comme lorsqu’enfant j’ai savouré pour la première fois un gâteau à la crème
offert
par mon père.
Joyeux à
l’idée de faire un nouveau voyage, plein de promesses.
Joyeux
comme après un défi remporté de haute lutte.
Joyeux
d’avoir trouvé u beau livre.
Joyeux
d’avoir fait de nouvelles rencontres.
Joyeux de
te retrouver après une longue absence.
Joyeux
après un baiser reçu comme un merveilleux cadeau.
Joyeux…
devant l’infini potentiel de beauté que recèle la vie sur terre.
Françoise
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Joyeux
comme un pinson.
Joyeux
comme celle qui retrouve la photo de son bien-aimé qu’elle avait égarée.
Joyeux
comme ceux qui osent recommencer après un échec et réussissent.
Joyeux
comme le sportif qui après un entraînement intensif remporte la médaille d’or.
Joyeux
comme celui qui ne passe pas son temps à gémir, il réveillera en d’autres
l’espérance qu’ils ont peut-être perdue.
Joyeux
come l’élève mauvais en maths qui a trouvé seul la solution d’un problème
difficile.
Joyeux
comme ceux qui vivent la solidarité dans leur vie quotidienne, ils font naître
lentement une terre plus juste et plus harmonieuse.
Joyeux
comme ceux qui s’engagent dans une association, un collectif d’école ou de
quartier car ils construisent quelque chose de petit qui deviendra grand.
Joyeux
comme ceux qui défendent leur dignité, un jour viendra où ils seront reconnus
et appréciés.
Joyeux
comme ceux qui luttent pour que leurs droits soient respectés, un jour naîtra
où ils obtiendront leur vraie valeur.
Christiane
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Joyeux
comme de gais lurons
Joyeux
comme un soleil de Pâques
Joyeux
comme le matin d’un départ en voyage
Joyeux
comme le jour de l’enfant prodigue
Joyeux
comme ceux qui s’en vont bras dessus dessous en chantant avec leurs meilleurs
amis.
Joyeux
comme le jour de la réalisation de ses rêves
Joyeux
comme lorsque l’on retrouve des êtres chers que l’on croyait avoir perdus à
jamais
Joyeux
comme quand on peut passer des heures avec ceux qu’on aime
Mireille
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·
Joyeux
comme les parents qui accueillent la naissance d’un nouveau-né à la maternité,
comme la mère émerveillée regardant son
bébé esquisser son premier sourire ou l’écoutant balbutier ses premiers mots.
·
Joyeux
comme les cris de l’enfant qui aperçoit au loin son père et qui court vers lui
pour se jeter dans ses bras.
·
Joyeux
comme la famille qui retrouve son jeune, parti pour quelques jours, pour
quelques mois et pour tout retour de celui ou celle qu’on attend.
·
Joyeux
comme celui ou celle qui découvre les premiers émois de l’amour et ressent brusquement
le besoin d’être ensemble à tous moments.
·
Joyeux
comme les yeux brillants de l’enfant
recevant un cadeau et manifestant son plaisir tout en déballant son paquet.
·
Joyeux
comme le rire de la bande de copains qui se retrouvent pour faire la fête, ou pour
aller ensemble en randonnée ou au sport.
·
Joyeux
comme le chat qui ronronne sous les caresses de sa maîtresse ces
petits-enfants se blottissent auprès de leur grand-mère qui leur chante des
comptines ou leur raconte des histoires
Marie-Thérèse
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Joyeux comme
un matin qui chante et qui ne déchante pas au soir venu.
Joyeux comme un pinson ou un rossignol qui aux premières lueurs du jour pousse ses drilles et sa chansonnette.
Joyeux comme un merle qui s'en donne à cœur joie dans le cerisier du voisin.
Joyeux comme un sourire qui vous transporterait au nirvana.
Joyeux comme un pinson ou un rossignol qui aux premières lueurs du jour pousse ses drilles et sa chansonnette.
Joyeux comme un merle qui s'en donne à cœur joie dans le cerisier du voisin.
Joyeux comme un sourire qui vous transporterait au nirvana.
Joyeux comme
ce sourire dans cette bouille d'enfant réjoui qui, du haut de ses petites
jambes, court vers vous en tenant une fleur dans sa menotte.
Joyeux comme
cet enfant en bermuda et tee-shirt turquoise qui cabriole sur la plage sous les
chauds rayons du soleil.
Joyeux comme
tes bonjours quand au coin d'une rue, tu m'aperçois soudain.
Joyeux comme tes yeux quand arrive le printemps et le temps des cerises.
Joyeux comme tes débordements quand arrive le moment de ramasser des champignons et des châtaignes.
Joyeux comme tes yeux quand arrive le printemps et le temps des cerises.
Joyeux comme tes débordements quand arrive le moment de ramasser des champignons et des châtaignes.
Joyeux comme
Lulu quand son péché de gourmandise se présente devant lui : un plat de fromage
et du pain de campagne.
Joyeux comme un soleil se mirant dans l'océan juste avant l'arrivée de la lune.
Joyeux comme un soleil se mirant dans l'océan juste avant l'arrivée de la lune.
Joyeux comme
les aboiements de Rex, quand son maître rentre à la maison.
Joyeux comme Médor qui d'un coup de langue vous fait votre toilette.
Joyeux comme ce petit minou qui après un brin de laine s'accroche et tricote avec ses pattes.
Joyeux comme Natacha qui entre rubans et froufrous tourne dans une mazurka endiablée.
Joyeux comme ces entrelacs et ces entrechats qui mènent nos sauts et nos pas de danse dans le Lac des cygnes.
Joyeux comme des amoureux sur des bancs publics lors de retrouvailles alors qu'ils ne se sont jamais quittés.
Joyeux comme ton regard quand je t'annonce que je vais t'avancer 500 euros.
Joyeux comme mon frère qui devant sa télévision s'exclame bruyamment quand son équipe favorite a gagné son match.
Joyeux comme un homme qui se la coule douce à longueur de journée, quand bobonne s'active autour de lui et le chouchoute comme un coq sans patte en patte : de quoi faire du gras-double assurément.
Joyeux comme ces joyeux drilles qui pochtronnent allègrement en dépensant tout l'argent du ménage.
Joyeux comme ces boutentrains qui ne ratent pas une occasion de faire la fête même s'ils ont la gueule de bois le lendemain.
Joyeux comme ces footballeurs revenant d'un match qui dans un soir de beuverie poussent des beuglements si discordants sur la voie publique et sont incapables de reconnaître un ballon rond d'un ballon de rugby, puis se retrouvent au poste de police en deux temps trois mouvements tout en chahutant !
Joyeux comme Médor qui d'un coup de langue vous fait votre toilette.
Joyeux comme ce petit minou qui après un brin de laine s'accroche et tricote avec ses pattes.
Joyeux comme Natacha qui entre rubans et froufrous tourne dans une mazurka endiablée.
Joyeux comme ces entrelacs et ces entrechats qui mènent nos sauts et nos pas de danse dans le Lac des cygnes.
Joyeux comme des amoureux sur des bancs publics lors de retrouvailles alors qu'ils ne se sont jamais quittés.
Joyeux comme ton regard quand je t'annonce que je vais t'avancer 500 euros.
Joyeux comme mon frère qui devant sa télévision s'exclame bruyamment quand son équipe favorite a gagné son match.
Joyeux comme un homme qui se la coule douce à longueur de journée, quand bobonne s'active autour de lui et le chouchoute comme un coq sans patte en patte : de quoi faire du gras-double assurément.
Joyeux comme ces joyeux drilles qui pochtronnent allègrement en dépensant tout l'argent du ménage.
Joyeux comme ces boutentrains qui ne ratent pas une occasion de faire la fête même s'ils ont la gueule de bois le lendemain.
Joyeux comme ces footballeurs revenant d'un match qui dans un soir de beuverie poussent des beuglements si discordants sur la voie publique et sont incapables de reconnaître un ballon rond d'un ballon de rugby, puis se retrouvent au poste de police en deux temps trois mouvements tout en chahutant !
Joyeux ces
travailleurs de force noctambules qui pour une fois vont pouvoir rentrer au
bercail une heure plus tôt grâce au décalage horaire et au changement d'heure.
Claudine
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Joyeux
comme un pinson, dit le proverbe. Juliette du haut de ses huit ans, gambade sur le chemin, sautant d’un pied sur
l’autre, chantonnant un air qui lui passait par la tête.
·
Joyeux
comme le merle, sentant l’arrivée du printemps qui siffle à tue-tête et prépare
son nid, Marcel construit sa cabane au fond du jardin.
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Joyeux
comme le coucou qui s’époumone : « Coucou, coucou ». En
l’entendant pour la première fois, ai-je un sou dans ma poche pour être riche
toute l’année ?
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Joyeux
comme au printemps, le premier chant de l’oiseau perché sur la branche d’un
arbre qui bourgeonne, je me promène dans la campagne et me penche vers le sol,
cherchant les tiges naissantes des plantes qui pointent hors de terre.
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Joyeux
comme la nature qui s’épanouit sous un rayon de soleil, Caroline, tout sourire,
se prélasse au jardin, sur sa chaise longue.
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Joyeux
comme la forêt bruissant sous la caresse du vent, Pierre s’ébat dans la
clairière tout en imitant les modulations de ses « hou, hou » à
travers les branches.
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Joyeux
comme le bruit de la cascade qui coule au creux des rochers et qui, dans la
chaleur de l’été, diffuse un peu de fraîcheur.
Marie-Thérèse
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