vendredi 23 mars 2018

LE SON "BOU"

Ecrire avec le maximum de mots contenant le son "bou"
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C'est la fête dans le bourg, tambours et tambourins font un joyeux boucan,  les boutiques pavoisent, de la boucherie à la boulangerie,
Mariette entre chez le boucher, un bougre un peu bourru au visage bouffi. Elle boude son taboulé qui côtoie le boudin tout aussi tentant et s'en tient au bourguignon que ses bouches à nourrir lui ont réclamé. Il ne s'agit pas de faire une bourde, tant pis pour les quelques bourrelets autour de sa taille. Elle règle à une femme à l'air bougon debout devant la caisse, elle n'a rien d'un bout-en-train.
Elle termine ses achats par un paquet de boudoirs, un bouquet garni et une bouteille de bourgogne, un cru bourgeois qui lui fait débourser une coquette somme. Au retour une giboulée et des bourrasques de vent la surprennent, les piétons provoquent un embouteillage en se bousculant et en s'éclaboussant.
Chez elle il lui faut se mettre au boulot, le compte à rebours est commencé.  Elle se sent barbouillée en parcourant les gribouillis de son bouquin, elle a le bourdon et des bouffées de chaleur, un  bouillon léger serait bienvenu, on ne peut pas dire que l'eau lui monte à la bouche.
Son travail terminé elle rebouche le vin et chausse ses babouches, elle délaisse le tabouret pour s'asseoir sur le canapé bien rembourré recouvert d'un boutis orné de boutons. Tout en roulant au bout de son doigt une boucle de ses cheveux ébouriffés, elle regarde un bouvreuil sauter dans les branches du  bouleau planté dans la pelouse envahie de boutons d'or. Un laboureur qui n'a pas besoin de boussole remue la terre boueuse, un vrai bourreau du travail, il ne craint visiblement pas de s'embourber.
Près des éboulis du muret où rien ne bouge, le chat dort roulé en boule au pied du bougainvillier rabougri.
En soufflant la bougie, Mariette se dit qu'il fait bougrement calme dans son coin de paradis, elle n'est pas près d'avoir la bougeotte.

Paulette
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Dans les années soixante, Jeanne Triboulet, avait le bourdon : elle partit à La Bourboule pour traiter ses bouffées et ses bourrelets. Notre bourlingueuse se rendit d'abord à Bourg-en -Péage : ne voulant pas se restaurer dans un bouiboui, elle déboula dans la ferme familiale. A perte de vue s'étendaient les champs de topinambours, des myriades de boutons d'or éclairaient les prés. Sur les arbousiers rabougris, ricochaient les trilles des bouvreuils. Jeanne aperçut, près de la bouverie, Ursule Bouchat, le bouvier qui rentrait bovins, bourriques et bourricots, sans oublier le bouc. Boubout, le bouledogue, surgi de derrière les bambous, faisait un boucan d'enfer. Mais quel bourbier ! Dans la cour, les bousiers, souvent écrabouillés, roulaient des bouses comme Sisyphe son rocher. Jeanne pénétra dans la salle : on s'éclairait à la bougie : il fallait faire des économies de bouts de chandelle. Jeanne salua son père Augustin Bouzinac aux airs de boucanier bougon et bourru.
On mangea la bouillie relevée de ciboulette, avec du boudin. Ursule avait ramené du ruisseau une bourriche bourrée de bouquets d'écrevisses ! On but une infusion de bourrache. Puis, Augustin tira sur sa bouffarde, en donnant une bourrade à Ursule : il n'était pas à une bourde près : devant l'âtre, Bougras le chat se débarbouillait.
Jadis, Augustin était un bourreau de travail : le boulot, il connaissait : labourer, ébourgeonner, bouturer ; il arc-boutait sous la bourrasque de l'aube au hululement du hibou ; il arrachait même les bouillons blancs et les Bourses à Pasteur, pour faire place nette.
Certes, bouffi d'orgueil,il envoyait bouler son monde. Pour l'heure, ses doigts étaient boursouflés par les rhumatismes et ses oreilles bourdonnaient.
Le lendemain, Jeanne passa à Bourg-de -Péage, saluer Simone, une ancienne condisciple et collègue, bouc émissaire du patron et bouche-trou respectable. Elle se sentit barbouillée devant les bougainvillées et les boules-de-neige (obier). Simone revenait de chez le boulanger et le boucher du boulevard, pour préparer une bonne tambouille.La bougresse n'avait oublié ni taboulé ni boursin ni la bouteille de vin de Bourgueil. Juchées sur leur tabouret elles évoquèrent le bour et bour et ratatam de leur enfance et trois jeunes tambours...
Puis nos deux jusqu'auboutistes jouèrent aux boules sur le boulingrin des bourgeois du coin, tant elles avaient la bougeotte. Au retour, elles sirotèrent une infusion laxative de bourdaine.
Au petit matin, Jeanne partit pour les Bouches du Rhône, voir sa fille, une inconditionnelle des bains bouillonnants. Elle retrouva donc Dorothée Bouzigat, aux boucles d'oreilles grenat, à la jupe noire bouffante, au gilet ivoire en laine bouclette .
Jeanne dégusta la bouillabaisse, la boutargue, le boutefas, les boudoirs et fit sauter le bouchon du cidre bouché. Elle n'allait pas pourtant s'incruster comme la moule sur le bouchot.
Faute de temps, elle renonça à pousser une visite à Ginette Boutu, à Bourg- Madame.
Elle arriva à La Bouboule pour réduire les bourrelets qui la boudinaient : les bains de boue étaient sa bouée de sauvetage. Le soir, elle dansait la bourrée à la boum bougnate.
Les curistes ne tenaient plus debout. Finie la bamboula. La ceinture bouclée, la boulonnaise rentra se plonger dans ses bouquins : elle devait accueillir son cousin Phil Bouton à son retour de Tombouctou : cet expert en calembours, boutades, boustrophédons, bouffonneries, boute-en-train notoire, as du roulé boulé, toujours ébouriffé et ébouriffant se produirait bientôt aux Bouffes du Nord.

Marie-Christine
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Sous un bouleau à moitié rabougri, mais bourgeonnant,  Paul Bouvard, dit Bouboule, déboule en  babouches, sur le boulevard embouteillé. Ebouriffé, pas boudiné dans son  boubou à peine boutonné   mais plein de bouloches boueuses,- il n’a point de tabou-  il  tire de sa bouffarde quelques bouffées. De sa bourriche dépasse  une bouteille. Il  s’est abouché  avec le  boucher qui lui aboule un bon bout de bouvillon sans bourse déliée.  Il va le boucaner, jeter dans un  bouillon de la bourrache et un bouquet. Avec du taboulé à la ciboulette,  du boudin à la ciboule,  et quelques boudoirs,  il calmera sa boulimie et ne fera pas la fine bouche.
 Paul n’est un bouseux, pas un boudeur non plus  mais il est un peu maboul. Il a fait tant de petits boulots, laboureur, bouvier, boulanger, éboueur,  bouquiniste. Il a tant bourlingué de Cherbourg à Hambourg,  du Burundi à Abu-Dhabi.  De Djibouti, pour une boutade, une vraie bourde, il s’est fait bouter  mais  au Bhoutan,  boum !quel boucan !  Un vrai bourbier ! Sous la bourrasque, l’éboulement d’un grand Bouddha l’a bouleversé. Il en a perdu la boule. Sous l’éboulis, il a bougé  et s’est arc-bouté  pour se mettre debout. Il  était à bout et pas une bouée de secours ! Enfin, il a abouti à Boulogne puis à Boutonne. Au bout de l’usine de boulons,  il a tambouriné chez le rebouteux bourru. Il a débouché sur un réduit de bambou. Sur un tabouret, il a trouvé une bouilloire. Il pressa alors  le bouton et l’eau se  mit à  bouillir. Soudain, un bouledogue comme d’un coup de boutoir, l’a bousculé, déboulonné et ébouillanté. Il en a eu la peau toute boursouflée.
Maintenant loin de la boue et des labours, il vit à Cabourg, tourneboulé mais heureux.

Marie-Thérèse 
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Il traversa le boulevard et vit son reflet dans la vitrine de la boutique « bouh » je me ferais presque peur, une bouteille débouchée dans une main qui n’était ni du bourgogne, ni du bourgueil, les poches de son manteau déboutonné remplies de morceaux de boudoirs, dans l’autre main une paire de boules de pétanque. Il était déterminé à gagner cette fois ci pour s’offrir une bonne bouffe, l’eau lui en venait déjà à la bouche. Pas question que Colas, cette bourrique, ce vrai boudin ne vienne bouleverser son jeu, encore faudra-t-il qu’il s’applique à ne pas faire de boulette. Une gorgée de gnole va me booster. La dernière fois il avait envoyé ses boules dans une grosse bouse molle comme du boursin et il avait du débourser le prix du repas. Tout à coup une grosse berline déboula et laissa tomber dans un gros boum deux boulons, le garagiste n’avait pas fait du bon boulot. Quand il tourna au niveau de la boulangerie il remarqua alors les premiers bourgeons et un bouvreuil voletant de ci de la comme déboussolé. Oui vraiment il fallait qu’il gagne, ras le bol du bouillon insipide dont il devait se suffire.

Fabienne
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A Bourg-la-Reine, une petite bourgade où se presse toute une petite bourgeoisie : du bourgmestre au bourgeois gentilhomme en passant par la bourgeoise fraîchement embourgeoisée et des Luxembourgeois et luxembourgeoises arrivant du Luxembourg...On y remarque une jolie demeure à tourelles dans un détour du faubourg. La tour monte la garde esseulée dans ce quartier aux immeubles modernes et contemporains. Un petit bourg avec son Boulevard du Maréchal Joffre où nulle poubelle, ni goulot, bouchons de bouteilles ne trainent dans l'eau boueuse en bout d'impasse. Cadeaux laissés par un gougnafier trop goulu? Les éboueurs sont passés les jours de marché qu’importent le brouillard et les bourrasques. Que de boucan et de brouhaha les mercredis et samedi. Le boulevard embouteillé regorge alors de denrées de bouche. On y trouve des boucheries et des charcutiers traiteurs avec chacun leurs spécialités de la mer comme chez le poissonnier : les moules de Bouchot farcies, les escargots de Bourgogne, les oursins, le rouget grondin, la bouillabaisse. En plat principal : du goulasch : superbe ragoût roumain, du bourguignon qui houspille les papilles accompagné de son vin rouge ou blanc aligoté. En légumes des plats à base de courges et courgettes et des brochettes de topinambours en amuse-bouche ou de la semoule de taboulé. En entrée et autres plats de résistance: du pâté  en croûte croustillant qui sort du four, des bouchées à la reine à enfourner dont on ne fait qu'une bouchée, du chou rouge ou blanc de quoi jouer la soupe au choux, de quoi faire des choux gras et non choux blanc. Ce dernier parfumé au clou de girofle macère lentement dans une bourriche pour devenir une choucroute à se pourlécher les babines. Des bouquets de persil et de ciboulette couvrent les museaux. Les pieds et jarrets de porcs sont cuits dans un court bouillon bouillonnant épicé finissent bien présentés en gelée. Conservés dans de petits bourrichons. A Noël entre le boudin noir et blanc, le poulet boucané, la poularde de Bourg en Brest, la poule au pot de Henry IV du dimanche, la dinde fourrée de marrons et enfournée au four : cuisson adente,  fournie bien des plaisirs en nourrissant cousins, cousines bien adossés aux coussins des banquettes ou sur des tabourets.
J'allais oublier la fourme d'Ambert, le gouda et le boursin chez le fromager. 
Les boulangeries d'antan avec leur cuisson à l'ancienne bouleversent la vie actuelle avec leur fournil et leur pain cuit au feu de bois. Les confiseurs présentent des roudoudous et des boules de coco, du caramel Le Roux qui tient boutique sur cour du même nom que la chicorée avec comme différence le prénom : Henri. Enfin les pâtissiers rivalisent d'audace avec des charlottes garnies de boudoirs où le mascarpone au nougat est recouvert de coulis de fraise mousseux saupoudré de poudre de chocolat. De quoi se pourlécher les babines. Ne manque que les bougies et les bougeoirs dans des boudoirs qui trôneront sur un bout de table près des couverts et du canapé bordé de son boutis cousu main par une couturière. Pour décorer la table chez les fleuristes : rien de tel que des bouts de fougère, du houx. On attendra le printemps pour les premiers boutons d'or en extérieur et l'été pour avoir des fleurs de tournesol, des boutures de bougainvilliers et des pourpiers. 
Les courses terminées, avec quelques bouteilles de cidre bouché et une fougasse. On débouche un bon cru de Bourgogne avec un tire bouchon. Surtout ne pas outrepasser ses possibilités et pousser le bouchon trop fort jusqu'à rouler sous la table et mériter le sobriquet :"bourré comme un coing". Plutôt mourir que d'être mouché de cette façon. Se sentir mou et croupir à terre sans pouvoir se mouvoir, les cheveux ébouriffés, le rouge aux joues comme le nez dans le cirque Bouglione...C'est bousculant de se sentir déboussolée. Se transformer en bouffon ou bouffonne de service et être bousculée par ses propres bouffonneries en s'imaginant bouger les consciences est éprouvant. 
Non! Il faut se montrer courageux et courageuses en coupant court à ses envies. En gros : court ci cuiter ses pulsions boulimiques en fonction de sa bourse. Surtout quand on n'a rien dans les fouilles. Se sentir coupable? La bourse ou la vie? Non nous ne sommes pas dans "La grande Bouffe" avec toute cette "boustifaille" qui nous rendrait bouffi, boursouflé avec pleins de bourrelets au point de se faire traiter de boudin. Il faudrait redoubler d'attention pour ne pas doubler de taille. Sacré boulot ensuite.
 Quand la coupe est pleine il faut savoir couper dans le vif sinon c'est un vrai foutoir. Au coup par coup?
Et de bouger s'impose. Inutile de courir, de se lancer dans une course folle, de sauter comme un bouquetin ou un mouflon? Nul besoin d'Hiberner sans manger comme un ours au risque de sentir le bouc. Emboutir des portes et des murs à coup de boutoir dans un courroux : courroucé comme ce dernier?  Résister à l'envie de chaparder oui "chourer de la bouffe" comme une mouette qui veut boulotter, sautiller comme un rouge gorge ou un bouvreuil? Ou piquer comme un moustique? Fouler, Fourrager, fouiller et labourer le sol comme un bousier qui fait son travail d'éboueur non des égouts dégoûtants et ragoutants mais sous les bouleaux à la recherche de bouses? Bourdonner comme un bourdon et faire un bousin à se bousiller les esgourdes? Avoir le bourdon? Se la couler douce simplement et Être têtu comme une bourrique ou un bourricot fougueux qui n'en faire qu'a sa tête? Faire le mouton de Panurge et continuer de brouter l'herbe en brousse ou prendre la poudre d'escampette aux premiers pas du loup?  Nul coupe-faim pour calmer une faim de loup, de louve et de louveteaux... 
Surtout ne pas se bourrer de produits bourratifs et se laisser débouter lamentablement en s’en arque boutant bon gré mal gré à la réalité en faisant bouger l'aiguille de la balance?
Mis bout ‘à bout : ces conseils qui ne sont ni broutille, ni pour brouiller les pistes, peut-être emprunts de lourdeur ou lourding qui sait ou nous attirer les foudres de Bacchus? Ils sont faits pour faire bouillir la marmite sans bouillir intérieurement. On résiste à la gourmandise en buvant du bouillon de légumes, une soupe aux choux ou une tisane à la bourrache. Boire de l'eau de la Bouboule au risque de passer ensuite pour un mal embouché en mal de bouffe avec ce régime à  l'eau de boudin?! Il faut demander des comptes à la bouilloire.
Et pour la petite histoire : La boucle serait bouclée si celui que l'on appelle Bouboule, de ses doigts gourds plein de cambouis ne déboulait pas devant le frigo sans déboutonner son blouson tout bouloché qui le boudine avec sa doublure décousue, mainte fois recousue. La sauce tomate dégouline de ses moustaches et de sa barbe rousse. Faudrait débroussailler ses sourcils broussailleux...Pas vraiment un poulbot. Ce n'est pas un bourreau de d'hygiène et de la propreté. Pas de dépoussiérage. Ni d'époussetage. Beaucoup de poussière dans la cuisine. Il ne se foule pas. Son bouvier de Flandre sans être soudoyé, ni fourvoyé mais en louvoyant bouscule les poubelles qui débordent. Un vrai bouge. D'ailleurs certains collègues à son boulot le nomme "tête à poux" ou "une vraie gourde" ou "barbouze", ou rajoute "un vrai boulet ce Bouboule". Ils se répandent en boutades et calembours dans un bouche à oreille efficace sans risquer de faire des bourdes. Mais loin d'être leur défouloir, d'en bouillir intérieurement d'être traîné dans la boue ainsi, ni bouder, ni tournebouler à servir ainsi de boule de pétanque...Il répond à ses interlocuteurs à la langue fourchue, fourbes au passage, restant bouche bée :"ferme ta bouche à camembert"  ou "bouge de là" Des fois : il y a des retours de boomerang. Et des bourres pifs qui se perdent. Il bourlingue dur avec force huile de coude : à déboulonner et reboutonner des boulons chez un fournisseur de boucliers et de bouliers. Ensuite il a l'estomac sous les genoux : tout passe par la bouche. Sacré bougre qui risque de bouler en bas de l'escalier avec force de moulinets de bras et une coupure de cheville à la clé. Non! Plutôt Moulu, mouliné de partout. Passé à la moulinette. Et personne pour lui faire du bouche à bouche. Gourmand et gourmet il s'est fourré dans un sacré bourbier à céder ainsi à de tels excès de gourmandise. 
Ne reste que la brouette pour le brouetter. Non. Nul besoin d'appeler l'aumônier arrivant de l’aumônerie ou se rendre à Boucicaut. Là : il risque juste d'être à la bourre. 
On en serait bouleversé car c'est néanmoins un sacré boute en train ce "Boule de suif" à bout de souffle en remontant ses escaliers...Un autre jour il s'engouffrera dans la bouche du RER…Il rêve de visiter le gouffre de Padirac ou on ferait des fouilles, puis à Toulouse, à Tour, à Tourcoing et enfin à  Courbevoie et Goussainville. L'ourlet de son boubou bouffant dépasse de sa doudoune boutonnée, son sac en bandoulière bouchonné, la boule à zéro. La métamorphose est bouleversante. Rien sur le caillou. De quoi ne plus le couronner :"le roi des bouseux ou des boueux à la cour des miracles". Certains diront : on l'a marabouté !!
Et cette phrase lui sera attribuée: "S'alimenter n'est pas bouffer mais se sustenter sans souffrir d'obésité ». Terme plus cocooning. Nul bourrage de crâne mais cela débouche vers une véritable bouffée d'oxygène envers ce Bouboule qui est loin d'être maboule. Mais pas au point de s'acheter des boots de chez Lonboutin et d'aller ni aux Houches et à Courchevel !  Pauvre Loulou. Avec tout l'argent contenu dans sa bourse mis bout à bout au fil des jours : il ne pourrait que bougonner en n'arrivant pas à joindre les deux bouts cet ours mal léché à qui au final on ferait bien quelques bourrades dans le dos. Nulle brouille définitive. Faire du boudin n'est pas sa deuxième nature. 

Claudine

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