Le stylo-bille Bic, sans le
nommer, de toutes couleurs. C’était une révolution !
Finis les encriers, les stylos plume. On pouvait
écrire dans son lit lorsque l’on était malade.
Les couches culottes.
Finis les langes de coton et de laine, avec les couches en tissu qu’il fallait
laver chaque jour.
Les collants qui
remplacèrent les porte- jarretelles, pas
toujours supportables.
Les sacs plastiques à
mille usages qui remplacèrent les sacs en papier et qui aujourd’hui reviennent
pour notre désolation.
Les kleenex qui évitent
tous ces mouchoirs en tissus qu’il fallait laisser tremper pour les faire
bouillir après.
Le four micro-onde miracle.
Finis les plats qui attachent e attendant le retardataires. La vie est
belle !
Utilisation des plats
surgelés, des légumes, des viandes. Finies les courses de la dernière heure. Il
s’agit de s’organiser.
L’indispensable portable
qui nous rend joignable n’importe où. Fini d’attendre, énervé, ceux qui sont en
retard ou qui ne viendront pas.
Sans la télé, les jours
et les soirées seraient tristes bien souvent.
Vive toutes ces inventions qui nous facilitent
la vie
Le TGV qui nous dépose
en peu de temps où l’on doit se rendre avec sa valise à roulette qui remplace
les lourds et encombrants sacs de voyage et valises.
Les jeunes générations
collées à leurs ordinateurs, leurs tablettes. On a du mal à comprendre les
grands parents qui ont vécu au fil des ans
les avantages de l’évolution du progrès en plein essor, depuis les
années 40 jusqu’à aujourd’hui.
Mireille
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Mireille
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La première
qui me vient en tête est l’invention de l’automobile. Un moyen de transport
certes polluant, bruyant, mais qui permet de faire des trajets de longue
haleine en un temps court. Tout comme le train, l’avion, qui ont réduit considérablement
les temps de trajet et permis d’aller et venir plus facilement ainsi que de
transporter des marchandises, souvent périssables, et de les amener sur nos
tables. Ainsi des produits locaux ont été découverts par le grand public. Les entreprises
ont bénéficié de ces transports pour exporter ou importer. Une invention, ces
inventions sont si utiles de nos jours que personne ne pourrait y renoncer. Seulement,
il faut revoir nos modes de vie, de production pour réduire au maximum l’impact
de la pollution sur la nature. Un chantier de grande ampleur pour tous nos
gouvernants pour que l’avenir de la planète s’en trouve au mieux. La deuxième
invention est celle de la machine à laver le linge.
Cette corvée qui incombait aux femmes qui allaient soit au lavoir soit à la rivière pour frotter le longe qui avait, le plus souvent déjà bouilli avec du soufre. Et ça tapait, ça frottait avec un morceau de savon, ça rinçait dans l‘eau froide et gelée l’hiver. Le poids des tissus était si lourd, il fallait le tordre, puis sur l’herbe l’étendre pour qu’il sèche.
Cette corvée qui incombait aux femmes qui allaient soit au lavoir soit à la rivière pour frotter le longe qui avait, le plus souvent déjà bouilli avec du soufre. Et ça tapait, ça frottait avec un morceau de savon, ça rinçait dans l‘eau froide et gelée l’hiver. Le poids des tissus était si lourd, il fallait le tordre, puis sur l’herbe l’étendre pour qu’il sèche.
Ah, cette
machine… elle a changé la vie de toutes les femmes. Moins de fatigue et plus de
mains usées et gelées. Je plains ces femmes qui
n’ont pas la chance d’en avoir. Moi, personnellement, je ne pourrais pas
m’en passer… Bon, l’été, au camping, je fais la lessive à la main mais rien de comparable !
La troisième
invention à laquelle je pense est le réfrigérateur. Quelle merveille de pouvoir
mettre au frais ces produits périssables et consommables. Cela nous a permis de
pouvoir manger à longueur d’année des produits laitiers, de la viande, du poisson
pêché à plusieurs centaines de kilomètres de chez soi, de conserver fruits et
légumes variés et de diversifier ainsi notre alimentation.
Valérie
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Internet
est venu doucement mais sûrement révolutionner ma vie. Pour ma part, j'en ai
connu les prémices dans le cadre de mon travail et finalement, un beau jour on
se prend à vouloir en disposer aussi chez soi, on s'équipe.
C'est un outil qu'il faut
savoir utiliser, en choisissant les sites qu'on va visiter. Mais j'y trouve
tellement de réponses à mes questions que je m'en étonne même parfois, il me
paraît donc aujourd'hui impensable de revenir en arrière. Cela me permet aussi de gérer tellement de choses au
quotidien et d'une façon si rapide, je peux ainsi écrire à un organisme pour demander un renseignement,
j'oublie à présent papier, stylo et timbre.
C'est aussi un lien vers les
autres, il me permet de rester en relation avec des connaissances que je n'ai
pas l'occasion de voir mais avec qui je souhaite rester en contact. Que la
coupure survienne, je me sens perdue, je ne peux plus rien faire, j'en suis
malade. Internet étant lié au téléphone, dans ces moments-là je n'ai plus aucun
moyen de communication, je sombre, mon sentiment de solitude s'accroit et je me sens tellement
impuissante.
Mais si, à bien y réfléchir il
reste tout de même un autre moyen de communiquer, le téléphone mobile.
Quoique... Mais à ce jeu des inventions, je n'en finirais pas.
Paulette
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Dans
le petit matin brumeux d’hiver, il me faut dérouiller mon esprit en grattant
dans le poêle qui nous sert de chaudière, les scories des cendres du charbon
qui a brûlé toute la nuit pour conserver à la maison, un peu de chaleur. Après
avoir secoué la grille, bien nettoyé le récipient, je descends à la cave avec
mon seau à la forme oblongue et sa petite pelle. Je vais chercher mon premier chargement de charbon
de la journée. En remontant, je prends
sur le côté de l’escalier un journal et quelques branchettes et me voilà prête
à rallumer le feu. Un peu de papier journal, quelques brindilles, je craque une
allumette et une jolie flamme vacille à
travers la petite vitre qui s’embue. Vite mais avec prudence pour ne pas l’étouffer,
je verse quelques boulets et j’attends quelques minutes qu’ils commencent à se
chauffer. Quelques lueurs rouges m’annoncent que je peux maintenant verser la
totalité de mon seau. Et le poêle se met à ronfler. La corvée du matin est maintenant terminée. Je
le rechargerai dans la journée mais la
séance de grattage ne se reproduira qu’une seule autre fois, avant le coucher.
Et le long tuyau métallique montant jusqu’au toit
dispense sa douce chaleur. Pleine de poussière, je peux aller me laver
mais l’eau chaude, son corolaire,
n’arrive pas encore au robinet aussi dois-je aller la faire chauffer sur
la cuisinière à charbon ou à bois
Aussi
quand le chauffage central a été installé, quelle joie se fut de se contenter
d’appuyer sur un bouton pour qu’en quelques minutes, la chaleur se répande. Plus
de seau à charger ! Plus de poussière de charbon ! Plus de poêle à
gratter ! Finie la corvée du matin et du soir. Bien sûr, le progrès
aidant, le charbon a été remplacé parfois par du fuel ou du butane dans les
endroits où le gaz ou l’électricité ne sont pas raccordés ou quand les
grandes intempéries ont coupé les réseaux! Mais si la manutention demeure, elle
est beaucoup plus brève.
Alors,
je dis merci aux inventeurs successifs du chauffage central qui n’ont de cesse de progresser : -
thermostat d’ambiance - programmation à l’avance et bientôt utilisation de
l’énergie solaire ou d’autres sources d’énergie renouvelables qui protègeront la planète.
Marie-Thérèse
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La
révolution la plus importante à mon avis ce serait la libération des femmes
face à la conception et à la création d’une pilule anticonceptionnelle, de
l’ovule et du stérilet. Ces pratiques mieux que la méthode des bébés Ogino
seraient aptes à réguler les naissances non désirées. Il en a fallu des heurts,
des injures, des oppositions et des discours hués à l’assemblée nationale pour
enfin aboutir à la libéralisation de l’avortement, de pouvoir enfin parler et
d’adopter des lois servant la contraception. Mais cette loi est toujours
controversée et oppose bien des partis politiques, des sénateurs et des
députés. Aux States, M. TRUMP a ordonné de couper les vivres aux cliniques et
plannings familiaux optant pour une politique pro IVG.
Mais
hormis les croyances et réticences religieuses chrétiennes et musulmanes, ces
droits peuvent être abolis du jour au lendemain par des décrets et des
ordonnances selon l’état d’esprit des personnalités politiques arrivant au
gouvernement. L’utilisation du
préservatif étant surtout utilisé dans les communiés homosexuelles pour lutter
contre le SIDA, elle serait quelque peu boudée par les hétéro en couples et les
jeunes gens lors de leurs premiers rapports.
Alors vive le prochain vaccin qui nous protégera et éradiquera cette terrible
maladie.
Et pour
parler des bienfaits de la vaccination, nous pouvons croiser les doigts de ne
plus avoir d’épidémie de tuberculose : des foyers en partance des
« ghettos » suite à la migration
et au confinement des migrants
pouvant développer la maladie et contaminer des personnes saines s’ils ne sont
pas traités sous antibiothérapie rapidement... Les antibiotiques sont une belle
invention s’ils ne sont pas utilisés à trop grande échelle et joints
systématiquement à notre alimentation via l’élevage bovin. A l’heure actuelle,
nos médecins traitants ne peuvent plus prescrire d’antibiotique sans motif
valable infectieux et bactérien. Pour une raison simple : ne pas
développer une résistance à ces moisissures qui au temps de nos Flemming et centre
Pasteur ont fait des miracles.
Et
d’avoir inventé des méthodes de conservation efficace pour stocker les vaccins
et autres substances issues de l’animal
et de l’homme est un progrès en soi. Et d’avoir su créer des banques du
sperme afin de pouvoir continuer la procréation artificielle pour les femmes
désirant être inséminées peut s’avérer représenter un réel bonheur pour les
femmes nécessiteuses ne pouvant procréer naturellement. Ainsi dans certains
laboratoires, certains donneurs peuvent le faire sans anonymat et se montrer
plus ou moins proche de leur progéniture par paillette interposée de par le
monde entier en prenant des nouvelles régulières : allant même jusqu’à
organiser des rencontres avec la nouvelle génération ainsi procrée.
Alors
nous ne compterons pas les bienfaits réalisés par les méthodes de puériculture
sur le plan mondial entre l’invention des
couches-culottes dont la composition manquerait de transparence, des
biberons en plastique non toxiques, le matériel
réservés pour l’hygiène ne contenant pas de parabène et autres produits
produisant des perturbations endocriniennes et de lait comprenant de la
taurine... Enfin il s’agirait de faire attention et de vérifier l’origine des
jouets et des matériaux utilisés favorisant la motricité et l’éveil par le jeu,
la lumière et le son. Reste le sommeil loin de toutes sources sonores et
ondables susceptibles de perturber à long terme le sommeil de tous ces bébés ne
demandant qu’à être heureux. Ne leur
manquerait qu’un père à défaut d’un géniteur ?
Et je conclurais
mon énumération par cette réflexion de ma fille qui nous rappelle que rien ne
vaut une bonne paire de chaussettes pour avoir chaud aux pieds les nuits
d’hiver, avec ou non un chevalier servant à ses cotés. Et l’inventeur des
socquettes s’il n’a pas eu de prix
devrait en recevoir un car il nous livre des modèles ô combien colorés, rayés,
mouchetés, bigarrés ou neutres, qui nous permettent d’être bien dans nos
baskets et de pouvoir avoir des nuits peut-être plus belles que vos
jours ?
Claudine
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Je laisse à chacun le droit de penser du
mal de la tétine mais je vais essayer de démontrer qu’elle n’est pas si néfaste
que cela et que les parents hésitants ne doivent pas culpabiliser. Un enfant
qui a eu par le sein de sa mère son comptant de succion pleurera moins qu’un
enfant élevé au biberon car le biberon même sur vitesse réduite coule plus vite
que le lait au sein, donc pour être rassasié le bébé doit fournir un plus gros
effort c’est pour cela qu’il s’endort en fin de tétée. Le bébé au biberon avale
beaucoup plus vite, son petit estomac est vite plein mais il n’a pas eu la
satisfaction de la succion du téton. Il est fréquent que pour le premier bébé
la mise au sein ne soit pas si facile, il faut être décontractée et le bébé
bien installé. Ce qui n’est pas toujours le cas, c’est pourquoi malgré l’aide
du personnel formé pour cela les abandons d’allaitement sont si fréquents avant
même parfois la montée laiteuse. Pour en revenir à la tétine celle-ci est
pratiquement donnée systématiquement à l’enfant en cas d’allaitement par
biberon, évidement le bébé retrouve un peu la forme du sein maternel et tète
avec avidité ; le biberon et une tétine loin de la physiologie du téton
font avaler à l’enfant beaucoup d’air, il n’est pas improbable que cela cause
des coliques au nourrisson. L’important est d’avoir connaissance de tout cela
et de choisir une tétine physiologique .l’idéal est d’être bien encadrée lors
de premières mises au sein car rien n’est plus douloureux pour une jeune mère
que l’échec et d’entendre son bébé pleurer sans pouvoir le consoler. C’est
pourquoi je dis vive la tétine mais surtout vive un encadrement efficace et
surtout ne pas écouter mamie Josette, tata Aline, la copine qui sait tout sur tout.
Fabienne
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J'aimais cuisiner et c'était
toujours avec entrain que je testais une nouvelle recette. C'était aussi un
moyen de faire plaisir car en effet, qui n'aime pas la bonne nourriture et découvrir
de nouvelles saveurs. Et quand le but était atteint, je me sentais satisfaite,
un peu fière même, et j'oubliais alors le travail que la préparation de ce plat
m'avait demandé.
Mais quand un beau jour je me
suis retrouvée seule, sans moral, que plus personne n'était là pour apprécier
et partager ces bons petits plats que je sais mijoter, à quoi bon perdre son
temps et se créer de la besogne, tout ça me semble devenu inutile. J'ai perdu
alors toute motivation, quand bien même j'aurais pourtant envie parfois de me
régaler. Car une fois assise à table, seule devant mon assiette, le meilleur
des plats n'a plus autant de goût, m'alimenter devient une corvée que
j'expédie, je ne ressens plus aucun plaisir.
Cependant il faut continuer à
se nourrir, le corps réclame à heures fixes, il se rappelle à mon souvenir.
Alors oui, je mange, ce que je peux trouver et qui ne me prendra que le minimum
de temps. A notre époque, c'est donc une chance que les plats surgelés existent
dans ce genre de situation. Rien à préparer, je choisis dans les rayons ce qui
pourrait me faire un tant soit peu
plaisir. La variété est également au rendez-vous, les plats sont complets et
bien proportionnés, une fois le choix arrêté, le tour est joué.
Autre bonne invention qui pour
moi va de paire avec les surgelés, c'est le micro-ondes. Car que peut-on faire
d'un tel plat sans un micro-ondes, il faut bien tout de même chauffer les repas
et de cette façon, tout est prêt en un clin d'œil. Ainsi donc, si j'en ai
l'occasion, je peux me permettre de
sortir, de m'adonner à des activités qui m'occupent et me tiennent en dehors
d'un domicile devenu trop silencieux, des activités qui me permettent aussi de
ne pas rester seule avec mes idées sombres, je dispose alors de tout mon temps.
Qu'importe les heures qui passent, le soir quand je rentrerai mon repas sera
vite prêt et vite servi, et tout aussi vite avalé.
Cerise sur le gâteau pour moi,
pas de grosse vaisselle à faire après ce type de repas, juste une barquette à
jeter, des couverts et une assiette à ranger au lave-vaisselle, autre invention
dont je vous parlerai peut-être une autre fois...
Paulette
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A
la même époque, j’allais d’un pas décidé vers mon bureau pour retrouver ma
machine à écrire. Sortir le papier, puis le papier carbone qui tachait aussi
les doigts, et ajouter une nouvelle feuille pour toujours garder une trace de
son travail ! Introduire le tout sur le rouleau et taper, taper avec force sur les touches qui montent
et qui descendent au fur et à mesure de l’écriture. Voici ma lettre en deux exemplaires mais me suis-je trompée, il faut
tout recommencer. La machine à écrire n’a pas encore de mémoire. Aussi
l’arrivée de l’ordinateur améliore-t-il considérablement le travail des
sténodactylos, secrétaires voire comptables et autres professions, même si au
départ, l’apprentissage n’est pas toujours facile. Les perfectionnements se
succèdent à tel point, qu’il s’insinue dans chaque foyer, et qu’on l’utilise,
non plus seulement comme un outil professionnel mais bien comme un objet
personnel qui remplace le cahier et le stylo. Et vu ses performances, il
remplace ou se substitue partiellement à
ladite machine, mais aussi à l’antique
machine à calculer, voire au livre et grâce à internet à toutes sortes
de documents. L’ordinateur a vraiment révolutionné le monde du travail et fait
disparaitre les immenses registres où les employées aux écritures
s’appliquaient à longueur de journée, à
inscrire des données.
Bien
sûr ces inventions bouleversent nos habitudes et changent les professions
telles qu’on les connaissait mais elles en créent de nouvelles et ces
inventions apportent à chacun de la facilité et du plaisir que parfois on
oublie tant les gestes deviennent naturels et automatiques.
Marie-Thérèse
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Les volets mécaniques
C’est un
plaisir d’ouvrir les volets au petit matin, même quand il fait très froid, je
peux rester au fond de ma couette, je n’ai qu’à appuyer sur un bouton et le
jour pénètre dans ma chambre. Je peux admirer le ciel gris et clair, les
branches d’arbre couvertes de givre. Le soir, lorsque la nuit tombe, tout en
restant encore bien au chaud, de la même manière, je ferme mes volets.
Et au
printemps, quel émerveillement ! Dès que le volet monte, je vois les
bourgeons qui éclosent, les petites feuilles qui pointent le bout de leur nez
et grandissent de jour en jour. Les oiseaux qui reviennent gazouiller et le
ciel bleu qui le soir, dans ce coin d’Ile de France, souvent nuageux, prend des
teintes dorées, orangées, violettes. Je vois la nuit descendre peu à peu, à pas
de loup, et alors dans le ciel presque noir se lève la première étoile. J’appuie
sur le bouton, doucement le volet descend et la nuit règne dans ma chambre.
Les surgelés
Un magasin
Picard vient de s’installer en face de chez nous. Quel bonheur ! Quand je
rentre le soir, fatiguée de ma journée, je suis heureuse de trouver des plats
tout cuisinés et très bons. Je n’ai qu’à les passer, le temps indiqué, à la poêle
ou aux micro-ondes : tomates farcies, quiches lorraines, pizzas, poisson
en sauce, blanquette de veau, tartes aux fruits…Un seul inconvénient, les plats
tout préparés finissent par revenir cher si on y recoure trop souvent, et nous
perdons petit à petit le goût de cuisiner et de préparer de bons petits plats.
Les kleenex
Je suis
très enrhumée, j’éternue toutes les cinq minutes, mon nez coule comme une
fontaine ! A ce rythme, il me faudrait trois douzaines de mouchoirs par
jour… puis ensuite le lavage, le repassage. Heureusement, il y a les kleenex !
3 ou 4 paquets par jour dans le cas que j’évoque, quel soulagement ! On
jette à la poubelle, ce qui est plus propre et personne n’en parle plus.
Le stylo Bic
Tiens,
voici des modèles de chaussures très intéressants derrière cette vitrine, il
faudra revenir le jour de la braderie. Mais comment retenir le nom de la
boutique, le numéro de la rue, le prix des modèles et la bonne date ? Heureusement,
j’ai dans mon sac un stylo Bic et un carnet où je note toutes sortes de
renseignements. Que ferais-je sans mon stylo Bic. Tellement plus pratique que
la plume, l’encre et le buvard, et même que le stylo-plume. Merci à son
inventeur, nous ne saurions plus nous en passer.
Christiane
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