........................................................
Je suis riche, j’ai une amie.
Elle est
là pour m’écouter quand j’ai des ennuis.
Elle est
là pour m’aider quand j’ai des soucis
Elle est
là pour me conseiller quand je ne sais que faire.
Elle est
là pour essuyer mes larmes quand j’ai du chagrin.
Elle est
là quand je l’appelle, mais elle ne s’impose pas.
Elle est
là quand il faut, comme il faut.
Je suis
riche, j’ai une amie !
Elle
vient, elle me parle, elle me conseille et repart doucement. Quand elle est là,
pour bien la comprendre, il faut ouvrir son cœur. Avec elle, j’ai découvert
l’amitié, l’aventure, la nature et la joie. Elle est douce comme un agneau,
mais elle peut devenir pareille à un tigre.
Quand
elle parle, elle sait ce qu’elle dit et la manière de le dire.
Je suis
riche, j’ai une amie !
Ses paroles
sont trésors, qu’aucun roi n’a jamais eu. Mais elle sait écouter les autres.
Elle a besoin d’être écoutée et aimée.
Je suis
riche, j’ai une amie.
Pour
elle, l’homme a plus d’importance que toutes ses richesses.
Elle ne
donne pas de solutions toutes faites aux questions et aux problèmes.
Elle ne
donne pas de conseils, de manière à ce que la personne trouve la solution en
elle-même, comme elle le sent.
Oui, je
suis riche, j’ai une véritable amie !
Christiane
........................................................................
........................................................................
La
maturité rétrécit le champ de mes possibles.
J’ai
besoin de me sentir exister dans la tranquillité, la paix et sans menaces.
Voici
donc mes petits bonheurs.
J’aime
être en contact direct avec la nature, le soleil, la chaleur, la lumière, la
végétation, la fraîcheur.
Marcher
doucement et être présente à tout ce qui m’entoure.
J’apprécie
de déambuler sur la promenade des aqueducs, dans la douceur du soleil
d’automne.
Pour
ressentir le temps qui passe, au travers des saisons.
Il ne
reste que les grands sabres des iris qui se dessèchent, baissant leur garde et
ployant devant la venue du redoutable hiver.
La vigne
vierge monte à l’assaut des grillages, ses feuilles se frangent d’un bord
roux ; seuls les liserons gardent encore leur verdeur.
Même un
arbre qui se dénude dans un camaïeu de vert et de jaune sur un fond de
ciel bleu, est beau et plein de dignité.
ciel bleu, est beau et plein de dignité.
Quand il
fait sombre dans mon « intérieur », j’allume une bougie. Regarder
cette petite flamme qui vacille recrée de la vie. Lumière qui danse, lanterne magique
faisant resurgir des ombres lointaines et chaleureuses.
Ouvrir la
fenêtre de mon balcon sur le ciel, le paysage baigné de lumière et mes
plantations.
Petite
fourmi dans la ville, dans ma nacelle fleurie, au septième étage, je flotte en
communion avec l’espace, le soleil, mon mini jardin.
Permettez-moi
de bêtifier sur mes pensées, elles me regardent, belles, insolites, fières,
avec une expression presque humaine. Vivaces, elles vont éclairer les sombres
jours de ‘hiver.
Mais
revenons à la réalité et soyons plus terre-à-terre : savoir marcher dans
la boue des travaux du Chaperon Vert.
Josiane
........................................................
Plaisir
de partir en laissant
derrière soi,
Tous les soucis, tous les tracas.
Fermer
pour un temps, la porte de la maison,
S’envoler
vers d’autres horizons.
Plaisir de
s’échapper en prenant un bateau, un avion
Et voguer
vers d’autres pays, d’autres cultures :
Celles
des incas ou des mayas et pourquoi pas,
Celle des
thaïs ou des chinois ?
Prendre plaisir
à parcourir à pied, des coins de la planète,
En déchiffrer
l’histoire, dans les villes ou dans les contrées.
Prendre
plaisir de s’ouvrir à d’autres bonheurs.
Ecouter une
autre musique et même le silence.
Sans se
presser, observer, regarder la nature,
Les
maisons, les gens dans la rue et même les devantures.
Tel un
petit oiseau qui prend son essor,
Avoir plaisir
à découvrir, dans la brume matinale,
Le soleil
qui se lève rosissant la montagne
Ou
l’aurore boréale en un beau mois de juin.
Avoir plaisir
à plonger dans les eaux tièdes des tropiques
Ou à
s’enfoncer au plus profond de la forêt.
Ne pas
s’enliser dans le train-train quotidien,
Voir s’élancer
sur un ciel azuréen
Un vol de
flamants roses, au-dessus de l’océan.
Plaisir
de rencontrer d’autres êtres humains,
Ressentir
à leurs côtés, ce qui les fait vibrer,
Mais
aussi leurs malheurs, ce qui les fait pleurer.
Plaisir
de dialoguer, en apprendre un peu plus
Et
savourer ensemble des moments d’amitié
Avec une
boisson : thé, maté ou café.
Plaisir
de ne pas s’enfermer dans ses habitudes
Pour
goûter en cuisine, à leurs spécialités.
Mais si,
par malheur, le voyage n’est pas au rendez-vous,
Prendre
plaisir alors à s’évader par la pensée
Prendre
un livre, voir un film qui nous fera rêver
En nous
contant de ces lointains pays,
Comme les
contes des mille et une nuits,
Tant
d’histoires merveilleuses !
Marie-Thérèse
.............................................................
Il
y a des chansons que l’on chante sous la douche. Ce sont des refrains gais qui
donnent la pêche et sur lesquels on finit gaiement sa toilette.
Il
y a des chansons qui nous donnent du vague à l’âme qui nous rappelle des
souvenirs anciens.
Il
y a ce refrain qui nous obsède, qu’on fredonne sans fin, qui ne part plus de
notre pensée tout au long de la journée. On le fredonne malgré nous dans votre
tête à l’arrêt du bus au point de laisser passer celui-ci.
Il
y a les chansons qui rendent tristes, d’autres gais, celles qui nous ramènent
aux souvenirs de notre enfance vers laquelle on aimerait revenir.
Il
y a les chansons enfantines que l’on chante avec les amies, les enfants et
petits-enfants, ces chansons qui passent les années, sans prendre une ride.
L’émission
« La Chance aux Chansons » faisait revivre des chants que l’on
croyait oubliés et que l’on fredonnait tout au long de la semaine.
Il
y a le ciel, le soleil et la mer, assez
pour en faire une chanson.
Cette
chanson reviendra dans nos esprits en revoyant la mer.
Aujourd’hui,
nous chantons des chansons qu’on aurait pu écrire, qui nous rappelle tant de
choses de notre vie
Mais
les grands, les grands de la chanson les interprètent si bien et sont si
émouvants.
Il
y a les autres, les groupes qui nous donnent envie de danser.
En
les écoutant, on se revoit un instant avec le partenaire qu’on aurait pu aimer.
Nous étions si heureux, dans ces instants magiques où l’on ne pensait pas à
autre chose.
Mireille
...............................................................
Une bonne
soupe gourmande
Au
fromage de Hollande
Titille
les papilles
Avec ses
goûts subtils.
Pour
éviter d’être fébrile,
Aromatisée
ou épicée
Aux clous
de girofle
Ces
boutons que le giroflier
Nous
offre sur un plateau doré…
À la noix
de muscade
Pas de bousculade…
Soupe
verte ou orangée
Saupoudrée
d’un peu de persil
Ou de
ciboulette
Bon
apport en vitamine C
Contre le
rhume, c’est très chouette
Une bonne
soupe aux légumes verts
Ou du
soleil
Un détour
au pays des merveilles
Salez,
poivrez ou pimentez…
Riz ou
pâtes rajoutez
De
mouillettes agrémentez.
Une
touche de crème fraîche
Ou un
soupçon de beurre salé
Au
plaisir de déguster
Cuillère
après cuillère
Dans une
tasse ou bol
Bien
coloré
Ou bien
une belle assiettée
Alors, ça
y est ?
On peut y
aller ?
À vos
marques…
Partez !
Claudine
..............................................................
..............................................................
L'océan Atlantique et son eau
bleue s'étale jusqu'à l'horizon,
Où il rejoint le ciel, bleu lui
aussi, mais différent quand même.
Les vagues viennent se briser sur la grève dans un bouillonnement d'écume,
Les vagues viennent se briser sur la grève dans un bouillonnement d'écume,
On les croirait vivantes, on
entend comme un frémissement sur le sable.
Et pourtant, c'est là qu'elles
viennent mourir.
Du moins le croit-on car ensuite, un mouvement de recul,
Du moins le croit-on car ensuite, un mouvement de recul,
Et voilà l'eau qui repart vers
le large qui l'appelle.
Et là, de nouvelles vagues vont
se former, venir, et continuer ce mouvement,
Incessant flux et reflux qui
forment les marées.
Les marées sont plus ou moins
fortes,
Elles rythment les saisons à
certaines périodes de l'année.
A moins que ce ne soit les saisons qui s'imposent aux marées.
A moins que ce ne soit les saisons qui s'imposent aux marées.
En bordure l'eau est plutôt
verte, signe que la profondeur est moindre.
Quel beau dégradé de couleur,
ce vert qui devient très bleu,
Au fur et à mesure que le
regard va au bout de la terre,
Là où il ne peut aller plus
loin.
Ces vagues font la joie de
certains, leur permettant de jouer avec,
D'autres au contraire les
redoutent.
C'est qu'elles peuvent se
montrer très dangereuses,
Pour l'homme mais aussi pour la
nature.
Quand l'océan est déchaîné, alors rien ne peut plus lui résister.
Quand l'océan est déchaîné, alors rien ne peut plus lui résister.
Atlantique, ce nom ne découle
t-il pas du Titan Atlas qui, disait-on chez les grecs,
Possédait les colonnes
supportant la voûte terrestre.
Et que peut faire l'homme pour
dépasser un dieu....
Paulette
.........................................................
Paulette
...............................................................
..............................................................
Je n’ai pas la prétention de me lancer
sur les traces de Charles Baudelaire, même si je me délecte de ses petits
poèmes en prose mais de vagabonder dans la rêverie pour adoucir un quotidien
morose.
Entre rêve et réalité, je déambule sur la
planète bleue, composée essentiellement d’eau. Sur la croute terrestre les
fourmis humaines, obnubilées par le gigantisme, la mondialisation, confondus
avec la grandeur, s’escriment à construire les tours de Babel du profit, de
l’incommunicable, investissant l’espace pour y ériger des champs de bataille,
inséparables des armes, des hôpitaux ; ainsi vont les flux et reflux de la
vie et de la mort, le tempo binaire, l’accomplissement absurde des œuvres
perverses, motivées par le profit.
Ainsi, par analogie, je me laisse porter,
à l’image de la mer, par les flux et reflux de ma plume, captant rarement la
pensée mobile, fugace, imprévisible, protéiforme, au plus profond de moi-même,
trésor invisible, enfoui dans un océan indomptable.
Les hommes ne détruiront pas la mer même
s’ils la mettent à mal, elle est le miroir du ciel, grisée de nuages ou
céruléenne d’azur, pas plus que les êtres humains n’investiront mon jardin
secret fluctuant, avec ses remous et ses turbulences.
La mer symbolise l’évasion, le berceau,
la plaine hauturière des labeurs et des naufrages, mais aussi le passage obligé
entre les continents : des côtes françaises à Big Sur ! Romain Gary
dans Les promesses de l’aube évoque la mer symbole de la mère, de l’amour, de
la vie entière.
Ainsi notre existence est rythmée du
berceau à la tombe par les joies, les peines, les traversées couronnées de
succès, par ma famille depuis 1860 à destination de New York, sans oublier les
drames des naufrages actuels, la fascination du mortel Eldorado.
Les marées fracassantes, activées,
amplifiées, régulées par la Lune, satellite naturel de la Terre, se déclinent
en lames, rouleaux, tohubohu d’une fulgurance chaotique ; elles sont
suivies d’écume frangeant de dentelle les écrins variés de nos côtes fleuries.
Les artistes peintres, écrivains,
musiciens, photographes célèbrent la mer, à leur façon. Hokusai, Hugo, Valéry,
Debussy, Trenet, Maria Fa Lazzari, lauréate 2015 du prix européen de la
photographie, marquant son passage sur le sable, en l’ornementant de la trace
de son pied, fixant l’éphémère pour l’éternité. Ainsi, une empreinte peut nous
survivre, nous sommes dans l’univers pascalien de l’infiniment grand et de
l’infiniment petit, de l’éternel et de l’éphémère.
Chacun est fasciné par la mer qui nous
résiste, soufflant les accalmies et la tempête, à la manière d’un écrivain qui
tour à tour écrit, détruit, tempête, hugolienne sous un crâne, se reprend, dans
son flux, son reflux et laisse son empreinte, à la manière de Maria Fa Lazzari.
Tout est vibration, la capture de
l’instant éternel, comme pour les haïkus
La mer se berce
Un couple taquine l’eau
L’image jaillit
Marie-Christine
..........................................................................
Les fleurs sont nombreuses,
variées en formes et en couleurs,
Mais toutes sont belles,
chacune à leur façon.
Elles sont différentes aussi
d'une saison à l'autre,
Ainsi le plaisir des yeux peut
durer tout au long de l'année.
Le perce-neige, aussi blanc que
la neige que lui seul arrive à vaincre,
est la première fleur à
s'offrir à la vue.
Le crocus le suit de peu,
Le crocus le suit de peu,
Montrant ses couleurs allant du
jaune au bleu.
Mais sa corolle se referme la
nuit et les jours de mauvais temps,
Pour mieux s'ouvrir dès qu'un
rayon de soleil le caresse,
On sent la vie reprendre après
un long engourdissement.
La tulipe dans toutes ses
variétés va suivre,
Elles annoncent l'arrivée du
printemps.
Et que dire du forsythia et de
sa floraison jaune d'or,
Qui n'est pas sans nous
rappeler le soleil qui nous est nécessaire.
Le cytise n'est pas en reste, avec ses longues grappes de fleurs d'or,
Le cytise n'est pas en reste, avec ses longues grappes de fleurs d'or,
Qui vont le draper pour une
trop courte durée.
C'est alors que le prunus ou cerisier
du Japon,
Prépare sa rose floraison
éphémère.
Le muguet, fine branche ornée
de blanches clochettes odorantes,
Annonce l'arrivée du mois de
Mai qu'on dit joli.
Arrive ensuite l'été et c'est
alors une explosion de couleurs.
Les fleurs sont nombreuses, le
grand froid est fini.
La vie est repartie, dans la
nature, les fleurs et aussi chez les animaux,
Qui, l'hiver finit, montrent de
nouveau leur museau.
L'homme aussi ressent ce renouveau,
L'homme aussi ressent ce renouveau,
Cette saison lui fait adopter
un autre rythme de vie,
Les jours sont plus longs, on
les occupe au maximum.
Et ainsi va la vie, l'automne et ses tons doux et chauds succédera à l'été,
Et ainsi va la vie, l'automne et ses tons doux et chauds succédera à l'été,
Et ensuite, de nouveau l'hiver
reviendra...
Le plaisir n’est beau que s’il est
partagé
Ce que j’aime dans la vie ?
Ce que les autres m’envient ?
Comment le dire, l’expliquer ?
Chacun ressent selon son cœur
Pour moi, il y a eu tant de choses
Des personnes qui ont éclairé et
éclairent ma vie.
Cela commença par mes parents
Toujours présents
Quand il y avait un accroc
Dans le tissu de ma vie.
Puis est venu l’Amour, le mariage, les
enfants
Que de plaisirs !
Mes parents devenus grands-parents
étaient là pour mes petits
Puis maintenant c’est moi qui suis grand-mère
et
Je leur donne tout l’amour qui est dans
mon cœur
Je revois leurs yeux éblouis lors de nos
voyages
La satisfaction de l’un à son retour de
la découverte de la plongée
Le regard de l’une devant les icebergs,
véritables montagnes de glace
La complicité, le partage qui nous ont
unis devant les temples d’Angkor
Quel plaisir pour moi de les voir
heureux !
Un jour l’aîné de mes petits-enfants m’a
dit tout heureux :
Je vais être papa ! et moi, me voilà
arrière-grand-mère
Alors la mélancolie m’a submergée
J’ai repensé aux joies partagées avec mes
parents
Aux plaisirs partagés avec mon amour
A nos jeux, puis ceux partagés avec nos
enfants
Mes petits bouts devenus si grands qui,
lorsque nous nous rencontrons, ont les yeux qui brillent
Que du plaisir !
Voilà mes plaisirs simples, que je, que
nous, partageons
Comme je l’ai déjà dit : « Le
plaisir comme l’amour n’est beau que s’il est partagé »
Colette
............................................................
............................................................
Baignade
Pour ce
qui me concerne personnellement,
J’ai vécu
le meilleur et le pire.
Le meilleur
se déroule sur un rivage de Corse.
Longeant en
bordure immédiate de la plage,
Je peux y
accéder sans avoir à me chausser, ni me changer.
D’où la
savoureuse prouesse en guise de baignade :
Un 100 m
nage libre, au saut du lit, avant le petit déjeuner !
Emmanuel
Si je devais prendre en compte tous les
plaisirs
Je ne pourrais qu'en avoir une vue
partielle.
Alors comme il faut n’en choisir qu’un
seul...
J'opterai pour la communication
Pour obtenir non l'excellence, mais des
possibilités d'expression.
En effet pour avancer une vérité de La
Palisse
Je n'inventerai pas le fil à couper le
beurre
Si je vous disais qu'il en faut des
concessions
Pour arriver à nous écouter mutuellement
Apprenons à nous comprendre et à nous admettre.
Et si je vous disais que c'est un rude labeur...
J’en vois déjà certaines qui pâlissent...
Pour voir la vie en technicolor : oui en
couleurs !
Pas de statistiques.
Pas de balisage.
Rien que ma très grande considération
Et peut-être un peu de sollicitation ?
Sur une échelle de valeurs...
Alors adoptons le dialogue !
Avec des pleins et des déliés !
Avec des silences amusés ?
Ou non...
Joignons nos conceptions.
Nous nous écoutons.
Nous nous répondons.
Soyons perspicace.
Que de l'observation...
Et surtout pas de jurons.
Et la passerelle...
Nous trouverons.
Vers le mieux-être
Vers le vivre ensemble.
Vers le "Tous ensemble" !
La communication :
C'est un geste, une bonne parole
Une attention
C'est un océan de candeur
C'est un élan vers autrui
Tout en profondeur
C'est de la pureté
De l'authenticité
De la charité
A respecter.
Ce sont les lois du savoir-vivre
C'est ma raison d'être
Afin de mieux me comporter.
Notion de respect...
Vers une saine curiosité
Pas d'inquisition
Pas de dilemme
Pas de faux-semblants
Et de faux questionnements.
De "faux-problèmes"...
Pas de faux jugements
Encore moins de latents
Les apriori et fausses-idées
Sont à proscrire et à cerner.
Que de la droiture, de l'objectivité,
Egalité-fraternité-longévité
Devrait être notre maxime.
Alors autant opter et adopter
Une façon d'aller vers l'autre
Sans le blesser...
Il faudrait s'accorder un espace-temps
Echange de bons procédés.
Un apprentissage à l'année
Et une écoute attentionnée.
Alors pour pouvoir sublimer...
S'offrir une fontaine de Jouvence
Faire un arrêt sur image en Provence
Au milieu des champs de Lavande
Nous sommes en quémande
Faire le plein de douces senteurs
Qui titillent nos sensations
Et caressent en douceur
Notre cœur.
Claudine
.......................................................................
Nous,
Voyants qui pouvons voir toutes les merveilles que la nature nous offre,
Que ce
soient les couleurs de la végétation, des animaux, « oiseaux,
papillons »,
- Regardez les fleurs magnifiques !
Qui nous
remplissent le cœur de sentiments heureux
Elles
apportent la joie à tous les moments de la vie,
Nous
rappelle les absents qui nous les ont apportées.
- Regardez ces lys majestueux !
Ils sont le symbole de la royauté.
Roses, oranges, ils tendent fièrement leurs corolles.
Ces beaux lys blancs, signe de pureté,
Je reconnaitrais toujours votre parfum depuis mon enfance où
le quinze août,
Les gerbes embaumaient la petite chapelle pour la Sainte
Marie.
- Regardez ces bleuets !
C’est l’azur du ciel qui a déteint sur eux
Parmi les épis de blés et d’autres fleurs des champs
Qu’on met en bouquets champêtres ;
Vous serez comme remède pour les yeux fatigués.
- Regardez ces roses !
Elles sont de toutes les couleurs,
Elles portent des noms de femmes ou de célébrité.
A la Roseraie, on vous mitraille avec nos appareils photos
Mais les plus belles sont les roses rouges séchées
Qui nous ont été offertes par amour ou amitié.
- Regardez ces petites violettes !
Elles sont là, timides et fragiles,
Ce sont les symboles de la modestie.
Un petit bouquet de violettes acheté à l’entrée du métro
Est toujours accueilli avec joie.
Elles ont des vertus médicinales pour la toux mélangées à
d’autres fleurs.
Elles sont le symbole de Toulouse, ville rose, qui les vend
dans la confiserie
Sous forme de bonbons ou entières, confites dans le sucre.
- Regardez ces soleils !
Oui, ce sont des tournesols dominant par leur hauteur.
Leurs fleurs énormes qui rengorgent de bonne huile
alimentaire,
Ils nous offrent la possibilité de manger leurs graines.
Régalons-nous !
- Regardez ces tulipes !
De toutes les couleurs, fières sur leurs tiges,
Elles sont belles, les tulipes, symbole d’orgueil et de
prétention.
On en fait de beaux bouquets éphémères.
- Regardez ces capucines !
Nous avons tous fait la ronde sur la comptine.
Ces fleurs décorent une salade avec leur goût spécial, leurs
couleurs éclatantes.
Mireille
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire