mardi 30 mai 2017

DES INVENTIONS QUI CHANGENT LA VIE



Le stylo-bille Bic, sans le nommer, de toutes couleurs. C’était une révolution !
Finis les encriers, les stylos plume. On pouvait écrire dans son lit lorsque l’on était malade.
Les couches culottes. Finis les langes de coton et de laine, avec les couches en tissu qu’il fallait laver chaque jour.
Les collants qui remplacèrent  les porte- jarretelles, pas toujours supportables.
Les sacs plastiques à mille usages qui remplacèrent les sacs en papier et qui aujourd’hui reviennent pour notre désolation.
Les kleenex qui évitent tous ces mouchoirs en tissus qu’il fallait laisser tremper pour les faire bouillir après.
Le four micro-onde miracle. Finis les plats qui attachent e attendant le retardataires. La vie est belle !
Utilisation des plats surgelés, des légumes, des viandes. Finies les courses de la dernière heure. Il s’agit de s’organiser.
L’indispensable portable qui nous rend joignable n’importe où. Fini d’attendre, énervé, ceux qui sont en retard ou qui ne viendront pas.
Sans la télé, les jours et les soirées seraient tristes bien souvent.
Vive toutes ces inventions qui nous facilitent la vie
Le TGV qui nous dépose en peu de temps où l’on doit se rendre avec sa valise à roulette qui remplace les lourds et encombrants sacs de voyage et valises.
Les jeunes générations collées à leurs ordinateurs, leurs tablettes. On a du mal à comprendre les grands parents qui ont vécu au fil des ans  les avantages de l’évolution du progrès en plein essor, depuis les années 40 jusqu’à aujourd’hui.

Mireille
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La première qui me vient en tête est l’invention de l’automobile. Un moyen de transport certes polluant, bruyant, mais qui permet de faire des trajets de longue haleine en un temps court. Tout comme le train, l’avion, qui ont réduit considérablement les temps de trajet et permis d’aller et venir plus facilement ainsi que de transporter des marchandises, souvent périssables, et de les amener sur nos tables. Ainsi des produits locaux ont été découverts par le grand public. Les entreprises ont bénéficié de ces transports pour exporter ou importer. Une invention, ces inventions sont si utiles de nos jours que personne ne pourrait y renoncer. Seulement, il faut revoir nos modes de vie, de production pour réduire au maximum l’impact de la pollution sur la nature. Un chantier de grande ampleur pour tous nos gouvernants pour que l’avenir de la planète s’en trouve au mieux. La deuxième invention est celle de la machine à laver le linge.
Cette corvée qui incombait aux femmes qui allaient soit au lavoir soit à la rivière pour frotter le longe qui avait, le plus souvent déjà bouilli avec du soufre. Et ça tapait, ça frottait avec un morceau de savon, ça rinçait dans l‘eau froide et gelée l’hiver. Le poids des tissus était si lourd, il fallait le tordre, puis sur l’herbe l’étendre pour qu’il sèche.
Ah, cette machine… elle a changé la vie de toutes les femmes. Moins de fatigue et plus de mains usées et gelées. Je plains ces femmes qui  n’ont pas la chance d’en avoir. Moi, personnellement, je ne pourrais pas m’en passer… Bon, l’été, au camping, je fais la lessive à la main mais rien de comparable !

La troisième invention à laquelle je pense est le réfrigérateur. Quelle merveille de pouvoir mettre au frais ces produits périssables et consommables. Cela nous a permis de pouvoir manger à longueur d’année des produits laitiers, de la viande, du poisson pêché à plusieurs centaines de kilomètres de chez soi, de conserver fruits et légumes variés et de diversifier ainsi notre alimentation.

Valérie
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Internet est venu doucement mais sûrement révolutionner ma vie. Pour ma part, j'en ai connu les prémices dans le cadre de mon travail et finalement, un beau jour on se prend à vouloir en disposer aussi chez soi, on s'équipe.
C'est un outil qu'il faut savoir utiliser, en choisissant les sites qu'on va visiter. Mais j'y trouve tellement de réponses à mes questions que je m'en étonne même parfois, il me paraît donc aujourd'hui impensable de revenir en arrière. Cela me  permet aussi de gérer tellement de choses au quotidien et d'une façon si rapide, je peux ainsi écrire à  un organisme pour demander un renseignement, j'oublie à présent papier, stylo et timbre.
C'est aussi un lien vers les autres, il me permet de rester en relation avec des connaissances que je n'ai pas l'occasion de voir mais avec qui je souhaite rester en contact. Que la coupure survienne, je me sens perdue, je ne peux plus rien faire, j'en suis malade. Internet étant lié au téléphone, dans ces moments-là je n'ai plus aucun moyen de communication, je sombre, mon sentiment de  solitude s'accroit et je me sens tellement impuissante.
Mais si, à bien y réfléchir il reste tout de même un autre moyen de communiquer, le téléphone mobile. Quoique... Mais à ce jeu des inventions, je n'en finirais pas.

Paulette
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Dans le petit matin brumeux d’hiver, il me faut dérouiller mon esprit en grattant dans le poêle qui nous sert de chaudière, les scories des cendres du charbon qui a brûlé toute la nuit pour conserver à la maison, un peu de chaleur. Après avoir secoué la grille, bien nettoyé le récipient, je descends à la cave avec mon seau à la forme oblongue et sa petite pelle. Je vais  chercher mon premier chargement de charbon de  la journée. En remontant, je prends sur le côté de l’escalier un journal et quelques branchettes et me voilà prête à rallumer le feu. Un peu de papier journal, quelques brindilles, je craque une allumette  et une jolie flamme vacille à travers la petite vitre qui s’embue. Vite mais avec prudence pour ne pas l’étouffer, je verse quelques boulets et j’attends quelques minutes qu’ils commencent à se chauffer. Quelques lueurs rouges m’annoncent que je peux maintenant verser la totalité de mon seau. Et le poêle se met à ronfler. La  corvée du matin est maintenant terminée. Je le  rechargerai dans la journée mais la séance de grattage ne se reproduira qu’une seule autre fois, avant le coucher. Et  le long tuyau métallique montant  jusqu’au toit  dispense sa douce chaleur. Pleine de poussière, je peux aller me laver mais l’eau chaude, son corolaire,  n’arrive pas encore au robinet aussi dois-je aller la faire chauffer sur la cuisinière à charbon ou à bois
Aussi quand le chauffage central a été installé, quelle joie se fut de se contenter d’appuyer sur un bouton pour qu’en quelques minutes, la chaleur se répande. Plus de seau à charger ! Plus de poussière de charbon ! Plus de poêle à gratter ! Finie la corvée du matin et du soir. Bien sûr, le progrès aidant, le charbon a été remplacé parfois par du fuel ou du butane dans les endroits où le gaz ou l’électricité ne sont pas raccordés ou quand les grandes intempéries ont coupé les réseaux! Mais si la manutention demeure, elle est beaucoup plus brève.
Alors, je dis merci aux inventeurs successifs du chauffage central qui  n’ont de cesse de progresser : - thermostat d’ambiance - programmation à l’avance et bientôt utilisation de l’énergie solaire ou d’autres sources d’énergie renouvelables qui  protègeront la planète.

Marie-Thérèse
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La révolution la plus importante à mon avis ce serait la libération des femmes face à la conception et à la création d’une pilule anticonceptionnelle, de l’ovule et du stérilet. Ces pratiques mieux que la méthode des bébés Ogino seraient aptes à réguler les naissances non désirées. Il en a fallu des heurts, des injures, des oppositions et des discours hués à l’assemblée nationale pour enfin aboutir à la libéralisation de l’avortement, de pouvoir enfin parler et d’adopter des lois servant la contraception. Mais cette loi est toujours controversée et oppose bien des partis politiques, des sénateurs et des députés. Aux States, M. TRUMP a ordonné de couper les vivres aux cliniques et plannings familiaux optant pour une politique pro IVG.
Mais hormis les croyances et réticences religieuses chrétiennes et musulmanes, ces droits peuvent être abolis du jour au lendemain par des décrets et des ordonnances selon l’état d’esprit des personnalités politiques arrivant au gouvernement.  L’utilisation du préservatif étant surtout utilisé dans les communiés homosexuelles pour lutter contre le SIDA, elle serait quelque peu boudée par les hétéro en couples et les jeunes gens lors de leurs premiers rapports.  Alors vive le prochain vaccin qui nous protégera et éradiquera cette terrible maladie.
Et pour parler des bienfaits de la vaccination, nous pouvons croiser les doigts de ne plus avoir d’épidémie de tuberculose : des foyers en partance des « ghettos » suite à la migration
et au confinement des migrants pouvant développer la maladie et contaminer des personnes saines s’ils ne sont pas traités sous antibiothérapie rapidement... Les antibiotiques sont une belle invention s’ils ne sont pas utilisés à trop grande échelle et joints systématiquement à notre alimentation via l’élevage bovin. A l’heure actuelle, nos médecins traitants ne peuvent plus prescrire d’antibiotique sans motif valable infectieux et bactérien. Pour une raison simple : ne pas développer une résistance à ces moisissures qui au temps de nos Flemming et centre Pasteur ont fait des miracles.
Et d’avoir inventé des méthodes de conservation efficace pour stocker les vaccins et autres substances issues de l’animal  et de l’homme est un progrès en soi. Et d’avoir su créer des banques du sperme afin de pouvoir continuer la procréation artificielle pour les femmes désirant être inséminées peut s’avérer représenter un réel bonheur pour les femmes nécessiteuses ne pouvant procréer naturellement. Ainsi dans certains laboratoires, certains donneurs peuvent le faire sans anonymat et se montrer plus ou moins proche de leur progéniture par paillette interposée de par le monde entier en prenant des nouvelles régulières : allant même jusqu’à organiser des rencontres avec la nouvelle génération ainsi procrée.
Alors nous ne compterons pas les bienfaits réalisés par les méthodes de puériculture sur le plan mondial entre l’invention des  couches-culottes dont la composition manquerait de transparence, des biberons en plastique non toxiques, le matériel  réservés pour l’hygiène ne contenant pas de parabène et autres produits produisant des perturbations endocriniennes et de lait comprenant de la taurine... Enfin il s’agirait de faire attention et de vérifier l’origine des jouets et des matériaux utilisés favorisant la motricité et l’éveil par le jeu, la lumière et le son. Reste le sommeil loin de toutes sources sonores et ondables susceptibles de perturber à long terme le sommeil de tous ces bébés ne demandant qu’à être  heureux. Ne leur manquerait qu’un père à défaut d’un géniteur ?
Et je conclurais mon énumération par cette réflexion de ma fille qui nous rappelle que rien ne vaut une bonne paire de chaussettes pour avoir chaud aux pieds les nuits d’hiver, avec ou non un chevalier servant à ses cotés. Et l’inventeur des socquettes  s’il n’a pas eu de prix devrait en recevoir un car il nous livre des modèles ô combien colorés, rayés, mouchetés, bigarrés ou neutres, qui nous permettent d’être bien dans nos baskets et de pouvoir avoir des nuits peut-être plus belles que vos jours ?

Claudine
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Je laisse à chacun le droit de penser du mal de la tétine mais je vais essayer de démontrer qu’elle n’est pas si néfaste que cela et que les parents hésitants ne doivent pas culpabiliser. Un enfant qui a eu par le sein de sa mère son comptant de succion pleurera moins qu’un enfant élevé au biberon car le biberon même sur vitesse réduite coule plus vite que le lait au sein, donc pour être rassasié le bébé doit fournir un plus gros effort c’est pour cela qu’il s’endort en fin de tétée. Le bébé au biberon avale beaucoup plus vite, son petit estomac est vite plein mais il n’a pas eu la satisfaction de la succion du téton. Il est fréquent que pour le premier bébé la mise au sein ne soit pas si facile, il faut être décontractée et le bébé bien installé. Ce qui n’est pas toujours le cas, c’est pourquoi malgré l’aide du personnel formé pour cela les abandons d’allaitement sont si fréquents avant même parfois la montée laiteuse. Pour en revenir à la tétine celle-ci est pratiquement donnée systématiquement à l’enfant en cas d’allaitement par biberon, évidement le bébé retrouve un peu la forme du sein maternel et tète avec avidité ; le biberon et une tétine loin de la physiologie du téton font avaler à l’enfant beaucoup d’air, il n’est pas improbable que cela cause des coliques au nourrisson. L’important est d’avoir connaissance de tout cela et de choisir une tétine physiologique .l’idéal est d’être bien encadrée lors de premières mises au sein car rien n’est plus douloureux pour une jeune mère que l’échec et d’entendre son bébé pleurer sans pouvoir le consoler. C’est pourquoi je dis vive la tétine mais surtout vive un encadrement efficace et surtout ne pas écouter mamie Josette, tata Aline, la copine  qui sait tout sur tout. 

Fabienne
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J'aimais cuisiner et c'était toujours avec entrain que je testais une nouvelle recette. C'était aussi un moyen de faire plaisir car en effet, qui n'aime pas la bonne nourriture et découvrir de nouvelles saveurs. Et quand le but était atteint, je me sentais satisfaite, un peu fière même, et j'oubliais alors le travail que la préparation de ce plat m'avait demandé.
Mais quand un beau jour je me suis retrouvée seule, sans moral, que plus personne n'était là pour apprécier et partager ces bons petits plats que je sais mijoter, à quoi bon perdre son temps et se créer de la besogne, tout ça me semble devenu inutile. J'ai perdu alors toute motivation, quand bien même j'aurais pourtant envie parfois de me régaler. Car une fois assise à table, seule devant mon assiette, le meilleur des plats n'a plus autant de goût, m'alimenter devient une corvée que j'expédie, je ne ressens plus aucun plaisir.
Cependant il faut continuer à se nourrir, le corps réclame à heures fixes, il se rappelle à mon souvenir. Alors oui, je mange, ce que je peux trouver et qui ne me prendra que le minimum de temps. A notre époque, c'est donc une chance que les plats surgelés existent dans ce genre de situation. Rien à préparer, je choisis dans les rayons ce qui pourrait  me faire un tant soit peu plaisir. La variété est également au rendez-vous, les plats sont complets et bien proportionnés, une fois le choix arrêté, le tour est joué.
Autre bonne invention qui pour moi va de paire avec les surgelés, c'est le micro-ondes. Car que peut-on faire d'un tel plat sans un micro-ondes, il faut bien tout de même chauffer les repas et de cette façon, tout est prêt en un clin d'œil. Ainsi donc, si j'en ai l'occasion, je peux  me permettre de sortir, de m'adonner à des activités qui m'occupent et me tiennent en dehors d'un domicile devenu trop silencieux, des activités qui me permettent aussi de ne pas rester seule avec mes idées sombres, je dispose alors de tout mon temps. Qu'importe les heures qui passent, le soir quand je rentrerai mon repas sera vite prêt et vite servi, et tout aussi vite avalé.
Cerise sur le gâteau pour moi, pas de grosse vaisselle à faire après ce type de repas, juste une barquette à jeter, des couverts et une assiette à ranger au lave-vaisselle, autre invention dont je vous parlerai peut-être une autre fois...

Paulette
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A la même époque, j’allais d’un pas décidé vers mon bureau pour retrouver ma machine à écrire. Sortir le papier, puis le papier carbone qui tachait aussi les doigts, et ajouter une nouvelle feuille pour toujours garder une trace de son travail ! Introduire le tout sur le rouleau et taper,  taper avec force sur les touches qui montent et qui descendent au fur et à mesure de l’écriture. Voici ma lettre en deux  exemplaires mais me suis-je trompée, il faut tout recommencer. La machine à écrire n’a pas encore de mémoire. Aussi l’arrivée de l’ordinateur améliore-t-il considérablement le travail des sténodactylos, secrétaires voire comptables et autres professions, même si au départ, l’apprentissage n’est pas toujours facile. Les perfectionnements se succèdent à tel point, qu’il s’insinue dans chaque foyer, et qu’on l’utilise, non plus seulement comme un outil professionnel mais bien comme un objet personnel qui remplace le cahier et le stylo. Et vu ses performances, il remplace  ou se substitue partiellement à ladite machine, mais aussi à l’antique  machine à calculer, voire au livre et grâce à internet à toutes sortes de documents. L’ordinateur a vraiment révolutionné le monde du travail et fait disparaitre les immenses registres où les employées aux écritures s’appliquaient à longueur de journée,  à inscrire des données.
Bien sûr ces inventions bouleversent nos habitudes et changent les professions telles qu’on les connaissait mais elles en créent de nouvelles et ces inventions apportent à chacun de la facilité et du plaisir que parfois on oublie tant les gestes deviennent naturels et automatiques.

Marie-Thérèse
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Les volets mécaniques
C’est un plaisir d’ouvrir les volets au petit matin, même quand il fait très froid, je peux rester au fond de ma couette, je n’ai qu’à appuyer sur un bouton et le jour pénètre dans ma chambre. Je peux admirer le ciel gris et clair, les branches d’arbre couvertes de givre. Le soir, lorsque la nuit tombe, tout en restant encore bien au chaud, de la même manière, je ferme mes volets.

Et au printemps, quel émerveillement ! Dès que le volet monte, je vois les bourgeons qui éclosent, les petites feuilles qui pointent le bout de leur nez et grandissent de jour en jour. Les oiseaux qui reviennent gazouiller et le ciel bleu qui le soir, dans ce coin d’Ile de France, souvent nuageux, prend des teintes dorées, orangées, violettes. Je vois la nuit descendre peu à peu, à pas de loup, et alors dans le ciel presque noir se lève la première étoile. J’appuie sur le bouton, doucement le volet descend et la nuit règne dans ma chambre.
Les surgelés
Un magasin Picard vient de s’installer en face de chez nous. Quel bonheur ! Quand je rentre le soir, fatiguée de ma journée, je suis heureuse de trouver des plats tout cuisinés et très bons. Je n’ai qu’à les passer, le temps indiqué, à la poêle ou aux micro-ondes : tomates farcies, quiches lorraines, pizzas, poisson en sauce, blanquette de veau, tartes aux fruits…Un seul inconvénient, les plats tout préparés finissent par revenir cher si on y recoure trop souvent, et nous perdons petit à petit le goût de cuisiner et de préparer de bons petits plats.
Les kleenex
Je suis très enrhumée, j’éternue toutes les cinq minutes, mon nez coule comme une fontaine ! A ce rythme, il me faudrait trois douzaines de mouchoirs par jour… puis ensuite le lavage, le repassage. Heureusement, il y a les kleenex ! 3 ou 4 paquets par jour dans le cas que j’évoque, quel soulagement ! On jette à la poubelle, ce qui est plus propre et personne n’en parle plus.
Le stylo Bic
Tiens, voici des modèles de chaussures très intéressants derrière cette vitrine, il faudra revenir le jour de la braderie. Mais comment retenir le nom de la boutique, le numéro de la rue, le prix des modèles et la bonne date ? Heureusement, j’ai dans mon sac un stylo Bic et un carnet où je note toutes sortes de renseignements. Que ferais-je sans mon stylo Bic. Tellement plus pratique que la plume, l’encre et le buvard, et même que le stylo-plume. Merci à son inventeur, nous ne saurions plus nous en passer.

Christiane

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